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Paris-Pékin-Nanchang - Pour joindre Eric

14 août 2000 - Astrakhan

Je me fais réveiller par un pivert qui frappe sur l'arbre d'à côté. Le ciel est couvert, il tombe même quelques gouttes de temps en temps. Cela ne va pas durer, le vent se lève et m'empêcher d'avancer à une allure correcte.

La route suit toujours la Volga. A l'approche d'Astrakhan, le paysage humain s'urbanise et s'industrialise. Astrakan est située sur le delta de la Volga qui se jette dans la mer Caspienne.

C'est la porte de l'Asie centrale. L'arrivée dans le centre ville s'effectue par le passage successif de plusieurs pont. Il y a bien sur toujours de grandes barres d'habitations, mais le centre est préservé. Je traverse tout un quartier constitué de vielles maisons en bois. J'arpente la ville en chevauchant mon Solex à la recherche d'un hôtel ou autre. Je demande à des personnes qui feront faire au moins trois fois le tour de la ville.

Je terminerais quand même par trouver. Ca doit être un de ces grands hôtels d'état. La réception est située derrière des guichets avec des hygiaphones. Les plafonds sont immenses et il y a des couloirs partout, de quoi s'y perdre. L'avantage incontestable, c'est qu'il se trouve à deux pas du centre ville.

Une fois installé, je vais faire un tour en ville à pied. C'est agréable de passer incognito. Il y a un vrai centre de vie autour de rues piétonnes. Je passe à côté de ce que j'imagine être une grande cathédrale orthodoxe, j'en saurais plus demain. Je terminerais par un dîner sur le bord d'un des bras de la Volga.

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